Le classico entre Paris et Marseille n'a pas tenu toutes ses promesses. Au lendemain de la rencontre, il y a du bon et du mauvais.
Positif
- La première période avec du beau jeu, surtout du côté parisien, qui ont enflammé les 20 première minutes avec deux buts, des phases de jeu rapides à une touche de balle et une efficacité devant le but du duo Erding - Hoarau
- L'ambiance, qui malgré l'absence d'une bonne partie des supporters marseillais, a été bonne. Sur le terrain également, l'arbitre a su contenir les excitations de ce match de gala en distribuant des cartons jaunes uniquement sur les fautes grossières.
Négatif
- La communication marseillaise à l'issue du match, en particulier celle de Didier Deschamps, fort décevante. L'ex-international français a en effet insisté sur le fait que son équipe à été mal encadrée depuis le son arrivée dans la capitale , la veille du match. Totalement délaissée sur le périphérique parisien pendant prés de trois quart d'heure le samedi, l'équipe marseillaise a été escortée par plusieurs dizaines de camion de CRS le dimanche, au point de créer plus d'embouteillage que de place pour l'équipe marseillaise, qui a accusée un retard conséquent dans sa préparation d'avant match. L'empressement dans lequel son équipe a due effctuer sa préparation est inadmissible selon Deschamps. Deschamps qui a relativisé : Il a reconnu la supériorité parisienne lors de cette rencontre tout en insistant toujours sur le contexte chaotique dans lequel l'OM s'est présenté dans la rencontre.
Valbuena quant à lui a ouvertement critiqué l'arbitrage du match par M. Stéphane Lannoy : "Moi je prends un avertissement alors que je fais une demi-faute, [...] Et quand je reçois un coup de coude qui m'a occasionné une fracture du nez, là, on ne sanctionne pas le joueur"
- La deuxième période, assez pauvre en occasion : Paris a timidement tenté mais a surtout défendu pour éviter que l'OM revienne au score quand cette même équipe marseillaise était incapable de produire du jeu suffisamment nourri pour mettre en difficulté la défense parisienne.
Valbuena quant à lui a ouvertement critiqué l'arbitrage du match par M. Stéphane Lannoy : "Moi je prends un avertissement alors que je fais une demi-faute, [...] Et quand je reçois un coup de coude qui m'a occasionné une fracture du nez, là, on ne sanctionne pas le joueur"
- La deuxième période, assez pauvre en occasion : Paris a timidement tenté mais a surtout défendu pour éviter que l'OM revienne au score quand cette même équipe marseillaise était incapable de produire du jeu suffisamment nourri pour mettre en difficulté la défense parisienne.
PSG 2 - 1 OM
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